Une très belle découverte de ce mois-ci: Les Falsificateurs, d'Antoine Bello! Je ne peux que vous le recommander très vivement!
D'abord, car l'histoire est très bien montée, pleine de suspense et de rebondissements. Ensuite, car ce livre fait voyager en terres peu connues (Revkjavik, Cordoba, Krasnoiarsk) mais aussi dans le temps, un temps d'une histoire chaque jour recomposée, par une équipe de jeunes talents d'une multinationale du mensonge, chargés de remanier le passé au jour le jour, mais dans quel but? Le mystère règne!
Alors pas à pas, Antoine Bello interroge les liens entre le vrai et le faux, entre la fiction et l'actualité qui la dépasse parfois (pensons aux fameuses armes de destruction massive en Irak, etc.) Il offre ainsi une réflexion sur les média, sur les sources historiques et digitales, sur le rôle des écrivains, des chercheurs, et des membres d'organisations internationales.
C'est aussi un roman d'initiation, car le héros du livre apprend à devenir un bon falsificateur, un peu comme si Antoine Bello voulait nous donner des pistes pour devenir soit un très bon romancier, soit un très bon homme politique, qui sait!
C'est aussi un roman qui nous interroge sur nos choix de pensée: qu'est on prêt à croire? Pourquoi pensons-nous ce que nous pensons? Jusqu'où serions nous prêt à aller pour défendre une cause? Jusqu'où acceptons nous de travailler pour des organisations dont nous ne connaissons pas vraiment clairement les buts?
En tout cas, ce roman offre une vision du monde moderne assez juste, je trouve, malgré le risque certain de tomber de nouveau dans la théorie du complot, on nous cache tout, on nous dit rien!
Je pense que tous les amateurs de John Le Carré ou de Mark Burnell seront comblés! Touche anglosaxone du détail qui tue et qui emporte, double vie, secret! Quant aux autres, ils pourront découvrir le roman d'espionnage ou thriller avec en plus une touche de réflexion philosophique et historique qui donne à penser!
D'abord, car l'histoire est très bien montée, pleine de suspense et de rebondissements. Ensuite, car ce livre fait voyager en terres peu connues (Revkjavik, Cordoba, Krasnoiarsk) mais aussi dans le temps, un temps d'une histoire chaque jour recomposée, par une équipe de jeunes talents d'une multinationale du mensonge, chargés de remanier le passé au jour le jour, mais dans quel but? Le mystère règne!
Alors pas à pas, Antoine Bello interroge les liens entre le vrai et le faux, entre la fiction et l'actualité qui la dépasse parfois (pensons aux fameuses armes de destruction massive en Irak, etc.) Il offre ainsi une réflexion sur les média, sur les sources historiques et digitales, sur le rôle des écrivains, des chercheurs, et des membres d'organisations internationales.
C'est aussi un roman d'initiation, car le héros du livre apprend à devenir un bon falsificateur, un peu comme si Antoine Bello voulait nous donner des pistes pour devenir soit un très bon romancier, soit un très bon homme politique, qui sait!
C'est aussi un roman qui nous interroge sur nos choix de pensée: qu'est on prêt à croire? Pourquoi pensons-nous ce que nous pensons? Jusqu'où serions nous prêt à aller pour défendre une cause? Jusqu'où acceptons nous de travailler pour des organisations dont nous ne connaissons pas vraiment clairement les buts?
En tout cas, ce roman offre une vision du monde moderne assez juste, je trouve, malgré le risque certain de tomber de nouveau dans la théorie du complot, on nous cache tout, on nous dit rien!
Je pense que tous les amateurs de John Le Carré ou de Mark Burnell seront comblés! Touche anglosaxone du détail qui tue et qui emporte, double vie, secret! Quant aux autres, ils pourront découvrir le roman d'espionnage ou thriller avec en plus une touche de réflexion philosophique et historique qui donne à penser!
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