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Quand on remue ces cailloux au fond de sa poche, un sentiment se dégage: celui de la mélancolie ("Hüzün" en version originale dans le texte). C'est un sentiment singulier, spécifique au lieu et à l'homme semble-t-il. Un sentiment qui peut être explique son devenir écrivain?
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcMJUJNRvJ2Qad4PSJj_JiPc5W0O203Jh-FSw0Axl1maQAfrd8AXIYplQEqKlM15QAuYdYWfli4nqRJ-3eaCX1n9tUJniJ6Ie2La63PR0q5jIC2G_EvkrzfNK9JGC_-oLXZY_w/s400/get_photo.jpg)
Par sa forme, ce livre me rappelle ceux de T. Terzani (voir rubrique "Témoignages"). En effet, Ohran Pamuk lui aussi joint au texte de magnifiques clichés en noir et blanc qui illustrent son récit. Ses photographies sont à la fois intimistes et archives d'une société qui s'effrite, à l'image des façades qu'on devinnent en arrière plan.
Un livre à ouvrir avant ou après un voyage en Turquie. Un livre à ouvrir pour les curieux de témoignages humains et géographiques. Un livre à ouvrir pour les collectionneurs de cailloux mélancoliques.
1 commentaire:
Carissima, ho visto con piacere le tue ultime recensioni!un abbraccio da Firenze!:-)
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